L’allergie au latex peut embêter plus d’une personne pour plusieurs raisons. Que cela concerne l’utilisation de gants en latex ou de préservatifs… Les réactions à cette allergie sont contraignantes, et concernent aussi bien les femmes que les hommes. Dans cet article, nous nous concentrerons bien entendu sur le sujet des préservatifs.
Le latex provient de l’arbre à caoutchouc et cela constitue globalement la matière principale des préservatifs. En France, on estime que 1 à 5% environ de la population est allergique au latex.
Malheureusement, les symptômes dû à une allergie sont à proprement parlés les mêmes qu’une mycose vaginale ou une IST, à savoir : des démangeaisons (mince, ça gratte !), des rougeurs ainsi que des brûlures aux parties intimes. On peut également constater une sécheresse vaginale et/ou un gonflement des grandes lèvres.
Néanmoins, une allergie au latex est diagnostiquée grâce à des tests cutanés et des bilans sanguins à la recherche d’anticorps anti-latex. Mais, si vous faites des réactions lors d’un port de gants en latex (ici, le symptôme peut également être une gêne de type respiratoire), il est fort probable que vos réactions allergiques au niveau de la vulve soit liées au même problème 😉.
Le mieux est de consulter un médecin allergologue !
Cependant, hors de question de se passer des préservatifs en cas d’allergie ! Il existe plusieurs substituts en termes de protection :
Ces types de préservatifs sont disponibles soit en pharmacie, soit en grande distribution. Pour constater, n’hésitez pas à essayer ! De nombreuses femmes les ont apprivoisés, pourquoi pas vous ?
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Il est vrai que nous pouvons souvent confondre l’endométriose et l’adénomyose. PointGyn vous éclaire et vous explique la différence entre les deux pathologies. Dans un premier lieu, revenons sur leurs caractéristiques propres à chacune.
L’endométriose, maladie qui, petit à petit, commence à être prise de plus en plus au sérieux (et notamment dans nos centres PointGyn), touche une femme sur sept. En effet, l’endométriose se caractérise par la présence d’endomètre (qui est la couche interne de la paroi de l’utérus), en dehors de la cavité utérine.
Cela va donc entrainer des inflammations, dans les trompes, les ovaires, ou encore dans d’autres organes comme la vessie, les intestins, ou cas plus rare, les poumons !
On vous invite à écouter notre podcast, réalisé avec Charlotte, ou nous parlons de la maladie.
Quant à elle, l’adénomyose utérine va se définir en fonction de la présence anormale de tissu endométrial dans le myomètre. Qu’est-ce que c’est ? Ici, c’est la couche moyenne de la paroi utérine.
Concernant les chiffres, tenez-vous prêtes ! Une femme sur trois atteintes de la pathologie ne présente aucun symptôme. Dans d’autres cas, l’adénomyose peut provoquer d’importants saignements, soit pendant les règles, soit en dehors, et peut également engendrer une inflammation du muscle utérin.
Selon EndoFrance, l’adénomyose concernerait 11 à 13 % de la population féminine. Dans 25 % des cas, les femmes atteintes ont de 36 à 40 ans.
Une chose simple : une femme peut alors souffrir d’adénomyose sans pour autant être atteinte d’endométriose. Et, à contrario, une femme peut être atteinte d’endométriose sans forcément souffrir d’adénomyose. On dit que, dans 6 à 20 % des cas, adénomyose et endométriose sont associées. Le fin mot ? Il n’y a pas de généralités.
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L’implant contraceptif est un moyen de contraception tout petit, il fait la même taille qu’une allumette ! En plastique, il ressemble à un petit bâtonnet. Pour donner une idée, il mesure environ 4 cm de long et 2 mm de diamètre.
On l’insère sous la peau dans le bras (celui que vous n’utilisez pas pour écrire, on l’appelle le bras non-dominant), et il va donner, en continu, des petites quantités d’un progestatif et d’etonogestrel, ce qui va alors supprimer l’ovulation. Il ne contient pas d’œstrogènes. Cela veut dire qu’il peut convenir aux femmes qui ne souhaitent pas ou ne peuvent pas utiliser une contraception œstroprogestative, (comme l’anneau, le patch ou la pilule combinée par exemple). L’avantage, c’est que vous ne pouvez pas oubliez de prendre un contraceptif !
Concernant son fonctionnement, l’implant contraceptif est efficace à 99,9 %, et un jour après la pose. Son efficacité dure trois ans, au maximum, il faudra le changer par la suite.
Cependant, quelques traitements peuvent atténuer son efficacité. Avec notamment les médicaments qu’on utilise pour l’épilepsie, la tuberculose, quelques maladies infectieuses, ou bien des médicaments qu’on utilise généralement pour traiter la dépression, qui sont à base d’une plante, qu’on appelle millepertuis.
L’implant contraceptif est mis en place par un médecin, gynécologue, ou bien une sage-femme. Il faut seulement que la pose s’effectue par un praticien qui est familiarisé avec cette technique.
Le médecin ou la sage-femme insère l’implant sous la peau du bras non dominant (celui avec lequel vous n’écrivez pas) avec un applicateur contenant une aiguille spéciale (pas de panique). Une anesthésie locale sera à faire avant d’insérer l’implant, pour limiter la douleur. Cela peut être fait sous forme de crème également.
Vous pouvez tout à fait, à votre demande, retirer l’implant lorsque vous le désirez.
Le principal risque, rare mais dangereux, est la migration dans l’artère pulmonaire. De plus, il est possible que l’implant se déplace dans le bras, ou dans un vaisseau sanguin. Cela serait due à une mauvaise insertion, trop profonde de l’implant au moment de la pose.
Pour éviter ce désagrément, le professionnel de santé vous montrera comment vérifier par vous-même que votre implant se trouve au bon endroit, grâce à une palpation toutes les 2 semaines environ.
Enfin, l’implant peut perturber le flux des règles, vous pouvez de pas avoir vos règles pendant tout ou partie des 3 années d’utilisation. Vous pouvez également avoir des règles moins régulières ou moins fréquentes que d’habitude… Cela varie en fonction des femmes, comme pour chaque contraception, cela doit vous correspondre.
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